28 ans après jour pour jour, les militantes et militants des Groupes Locaux de Paris, Versailles et de la Vallée de Chevreuse ont participé avec diverses associations et à l’appel du Réseau Sortir du Nucléaire à deux mobilisations pour commémorer la catastrophe de Tchernobyl du 26 avril 1986 et en souvenir des victimes.
» src= »https://cdn.greenpeace.fr/blog-gl/uploads/2011/05/arrow-active-2.gif » width= »14″ height= »14″/> Plus de 200 personnes ont déambulé à travers les rues parisiennes de Bastille à l’Hôtel de Ville.
Place de la Bastille, un die-in commémorait l’accident du 26 avril 1986 à Tchernobyl
Place Thorigny une danse traditionnelle japonaise symbolisait la catastrophe de Fukushima
A Beaubourg, un mariage a été célébré entre un élu et l’industrie nucléaire
A l’Hôtel de Ville, sous la pression de la société civile le divorce est prononcé et la transition énergétique engagée
» src= »https://cdn.greenpeace.fr/blog-gl/uploads/2011/05/arrow-active-2.gif » width= »14″ height= »14″/> Une vingtaine de citoyennes et citoyens sont partis de Guyancourt pour rejoindre le site Areva de Montigny-le-Bretonneux afin d’y déposer une gerbe de fleurs.
Ces mobilisations avaient pour but de se souvenir que les catastrophes de Tchernobyl et Fukushima sont toujours en cours et font encore des victimes, et aussi de dénoncer l’omniprésence du lobby nucléaire auprès des représentants de l’État et de l’Europe.
Augmentation des seuils de radioactivité tolérée par les populations et de la durée de vie des centrales voilà leurs solutions… ce à quoi Greenpeace répond : la Transition Énergétique, c’est maintenant !
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Scénario de Transition Energétique 2013 de Greenpeace
